Les blocs opératoires sont particulièrement énergivores (20 à 40 % des consommations totales des établissements hospitaliers). La mise en place d'un mode veille en période d'inoccupation et un meilleur contrôle des paramètres du traitement de l'air peuvent cependant permettre une économie substantielle (jusqu'à 50 %).

Outre leur impact financier, les consommations énergétiques ont indirectement, du fait des pollutions qu'elles engendrent, des conséquences certaines sur la santé publique. Aussi, l'établissement de santé, érigé en symbole, ne peut être qu'exemplaire dans la gestion des énergies. Le bloc opératoire, en particulier, est énergivore et peut représent...